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Les indépendants en Suisse sont soumis aux assurances sociales, selon le lieu de travail et de résidence ainsi que la nationalité en Suisse, EFTA ou UE. Différents cas régissent l'obligation d'assurance et des exceptions peuvent être consultées auprès des autorités d'assurance sociale.

À partir du 1er janvier 2016, le taux de cotisation à l'APG passe de 0,5 % à 0,45 %, ce qui amène les employeurs et employés à payer ensemble 10,25 %. Les travailleurs indépendants paient désormais 9,65 % à l'AVS/AI/APG.

Les travailleurs étrangers des pays de l'UE-17/EFTA et de l'UE-8 sont soumis à une obligation de déclaration dès le premier jour dans certaines branches, et à une obligation d'autorisation en cas de dépassement de 90 jours. Les travailleurs des pays de l'UE-2 et des pays tiers sont soumis à une obligation d'autorisation dès le premier jour dans des branches spécifiques.

Les frais médicaux et d'accident peuvent être déduits des impôts, déduction faite d'une franchise et des montants non couverts. Des justificatifs et un récapitulatif des coûts sont nécessaires pour la déclaration de déduction.

L'embauche de travailleurs étrangers nécessite, selon leur origine, une obligation de déclaration ou d'autorisation. Les missions de travail doivent être déclarées au moins 8 jours avant le début de l'activité.

Les travailleurs en Suisse sont soumis au système de sécurité sociale suisse, qui dépend du lieu de travail et de la nationalité. Les cas spéciaux tels que les détachements restent affiliés à leur sécurité sociale d'origine.

En Suisse, la taxe à la source est directement prélevée par l'employeur lorsque l'employé est étranger et sans domicile fixe dans le pays. Différents types de travailleurs tels que les artistes ou les dirigeants d'entreprises étrangères sont concernés.

La Suisse prélève une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 8,0 % sur la plupart des produits, avec des taux réduits de 2,5 % et 3,8 % pour des biens et services spécifiques. Certains services et exportations sont exemptés de la TVA.

La Suisse encourage les étrangers fortunés qui ne travaillent pas avec l'imposition forfaitaire, en taxant les coûts de subsistance plutôt que le revenu mondial. À partir de 2016, la base d'imposition a été augmentée au septuple du loyer et un revenu minimum de 400 000 CHF a été établi.